Madame Plouche

Tout et rien, rien et tout, mais un rien peut former un tout ...

posté le 29-10-2008 à 18:13:26

Rayess Bek ... MAP

Un petit coup de coeur musical, Rayes Bek. Je l'ai découvert en écoutant MAP (Ministère des Affaires Populaires) et j'ai beaucoup aimé, surtout le clip "Difference is normal" (dont j'attend toujours la traduction Aicha ...)

 

 



 

 

 

Auteur compositeur et interprète, s'est révélé comme un des représentants majeur du rap et du slam au Proche-Orient. Après avoir fondé le groupe Aks'ser (Sens interdit ou À contre-courant), il fait également carrière en solo sous le nom de Rayess Bek depuis 2001.

En 2003, Rayess Bek sort son premier album, 3am behkeh bil sokout, avec un label indépendant, suivi en 2005 par Mouder lal saha. On peut retrouver ses titres sur plusieurs compilations internationales, comme Guerriers pacifistes, distribuée à partir de février 2007.

Son univers hip hop, de plus en plus teinté de slam, fait se rencontrer mots arabes et français, beats orientaux et instruments traditionnels comme le oud. Sa nouvelle formation est conçue dans un esprit de fusion jazz soul oriental.

A 27 ans, Rayess Bek a partagé sa vie entre Paris et Beyrouth et connu deux guerres tragiques qui marquent nécessairement son écriture. Sa double culture est une force et il souhaite bien la propager dans de nouveaux titres en français et en arabe. Ses propos acérés sur la situation internationale, qu'elle traite de questions politiques ou de société, font écho des faubourgs de Beyrouth aux abords du périph' parisien. (source Wikipedia)

 

Je ne pouvais pas ne pas finir avec ceux dont j'ai parlé en premier, MAP, (je vous conseille de faire un petit tour sur le site, la première est terrible, paroles qui bousculent fort !!!) alors un petit morceau en passant ...Manich Mena

 

 

 


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1. aichanina  le 30-10-2008 à 14:32:38

eh bien madame ,tu as la traduction en anglais en dessous, toi qui es polyglote...hihi.Langue1 bisous

2. Amanyte  le 30-10-2008 à 16:53:12  (site)

Autant pour moi, je croyais que j'avais mis le clip sous-titré en arabe ... Désolééeeeee ... Gnarf

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posté le 28-10-2008 à 23:19:29

Le didgeridoo dans tous ses états

Certains aiment le son du cor au fond des bois, moi je préfére le son du didgeridoo même sans fond de bois. Après mes souvenirs d'Airvault, j'ai eu envie de présenter un peu cet instrument au son envoûtant. Utilisé notamment par les Aborigènes du nord de l'Australie, son usage semble très ancien, certains prétendent qu'il pourrait remonter à l'âge de Pierre (20 à 50 000 ans), néanmoins il n'existe aucune preuve de cette affirmation. C'est une trompe en bois, lointaine cousine du cor des Alpes ou du tonggin tibétain.

 

 

 

 

Didgeridoo, didjeridoo, didjeridu ou didjeridou, est un mot d'origine onomatopéique inventé par les colons occidentaux à partir du son de cet instrument. Les Aborigènes le nomment différemment en fonction de leur ethnie. Parmi la cinquantaine de noms, les plus courants sont : djubini, ganbag, gamalag, mago, maluk, yirago, yiraki, yidaki, bamboo etc.

 

 

 

 

 

Le didgeridoo est traditionnellement fabriqué à partir d'un tronc d'eucalyptus creusé naturellement dans toute sa longueur par des termites. La longueur varie de 100 à 180 cm, et le diamètre de 5 à 30 cm. L'embouchure est généralement recouverte de cire d'abeille pour ramener l'embouchure à un diamètre facilement jouable proche de 30 mm, pour la rendre plus lisse, pour mieux l'adapter à la forme de la bouche et pour la protéger de l'humidité. Les didgeridoos traditionnels peuvent présenter une embouchure recouverte de sugarbag, une cire d'abeilles sauvages, mais ont plus souvent une embouchure directement jouable. Traditionnellement, il peut être décoré par des peintures représentant des scènes de la mythologie aborigène ou des motifs claniques.

 

 

 

 

 

Il existe aujourd'hui des didgeridoos creusés manuellement, à partir d'une branche de n'importe quelle essence d'arbre coupée en deux dans le sens de la longueur, afin d'évider l'intérieur, puis recollée : c'est la méthode sandwich.

On en trouve aussi souvent en bambou et en teck, voire en PVC, en argile, en verre, en papier mâché ...

Il existe aussi des didgeridoos accordables. Le principe est de modifier la longueur de la perce par un système de coulisse.

 

 

 

Pour jouer du didgeridoo, le musicien fait vibrer ses lèvres comme pour un cor de chasse ou une trompette, avec cependant une tension moins forte des muscles labiaux. Une des particularités du didgeridoo, réside dans le fait que la plupart des joueurs utilisent la technique dite du souffle continu respiration circulaire. Celle-ci permet de maintenir un souffle d'air constant permettant de jouer sans s'arrêter, même lors de l'inspiration. ou

Le son de base, le bourdon (ou hoot), est produit par une vibration monotone des lèvres sur l'embouchure.

Pour créer des mélodies, il existe cinq sortes de variations à partir du bourdon :

  • De légères variations du débit d'air, qui abaissent ou augmentent la hauteur de la note du bourdon ;
  • L'amplification d'harmoniques présentes dans le bourdon, à partir de mouvements des lèvres et surtout de la langue ;
  • La variation du volume d'air dans les joues ou des poussées du diaphragme, qui permet des accentuations ryhtmiques :
  • Les vocalises qui viennent se superposer au bourdon, et qui imitent souvent des cris d'animaux, dans le jeu aborigène ; le joueur peut aussi chanter dans le didgeridoo ;
  • Le quintoiement (survibration ou toot) qui s'obtient par un pincement des lèvres, de manière à souffler comme dans une trompette et qui produit un son de corne de brume proche de l'octave supérieure du bourdon de base. En augmentant encore la tension des lèvres, il est possible d'obtenir d'autres survibrations plus aigües, comme pour un cor de chasse.

Dans les régions où il est culturellement représenté, le didgeridoo accompagne le plus souvent le chant et le jeu des claves, jouées par un ou plusieurs autres musiciens. C'est un instrument réservé aux cérémonies et aux festivités.

(source Wikipedia)
 

 

 

Un site très intéressant sur le didgeridoo ...
 
Et là le monsieur tout seul, il est assez étonnant ...
 
 
Naissance d'un didgeridoo ...
 
 
Et pour finir Le Rêve de l'Aborigène 2008 ...
 

 

 


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posté le 28-10-2008 à 22:19:29

Rêve de l'Aborigène

 
 
Airvault tous les ans vers le mois de juillet c'est le festival aborigène, la fête au didgeridoo qui répond au nom magique du Rêve de l'Abogirène. Cette année je n'y suis pas allée, me suis laissée tenter par la Garden Nef Party d'Angoulême, surtout pour Moriarty. Mais malgré tout le plaisir que j'ai eu à écouter cet excellent groupe, j'ai regretté les trois jours de fête à Airvault. Souvenirs de tentes, de tipis, de musiques, de rencontres, de délires, de sons, d'échanges ...
 
Spéciale dédicace à Mijo pour les photos et surtout pour le reste ... et Moriarty en boucle do you remember ?
 
 
 
Place au festival !!
 
<p></p>
 
 

 
 
 


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1. loutte  le 29-10-2008 à 16:21:42

Festival super bien on s'est bien éclaté =)

2. Amanyte  le 29-10-2008 à 21:18:27  (site)

T'inquiètes ma Loutte on se le refera l'année prochaine ! Non !! Plus la Garden !!

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