Le développement durable c'est le truc du siècle ...
Le développement durable (ou développement soutenable, angliscisme tiré de Sustainable development) est une nouvelle conception de l'intérêt public, appliqué à la croissance et reconsidéré à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects écologiques et culturels généraux de la planète. Il s'agit, selon la définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le Rapport Brundtland :
« Un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir. »
(source : Wikipedia)
Mais pourtant rien ne change vraiment, ou si peu. Le torchon brûle pour la planète, pollution lumineuse (villes lumières, ou zone de gaspillage ?),
déforestation, diminution de la biodiversité (l’érosion accélérée de la
biodiversité est 10 000 à 100 000 fois plus rapide qu’à l’époque de la
disparition des dinosaures), réchauffement climatique, manque d’eau (80
pays - 40 % de l’humanité - manque d’eau), de plus en plus de civils
tués et déplacés, corruptions, discriminations... Les problèmes de la
planète sont graves, nombreux, divers, voire irréversibles pour
certains. Sur le mode actuel, il faudrait trois à cinq planètes pour
subvenir à tous nos besoins à long terme.
Dans chaque domaine, chaque secteur, chaque continent, il n’est pas difficile de mettre le doigt où ça fait mal, où et comment l’homme gaspille ses ressources, les répartit mal et en prive une grande partie de la population. La première journée de débats aux Assises a été l’occasion de pointer ces problèmes. Mieux mis en évidence, ils sont peut-être plus faciles à combattre. Partout, le l’insuffisance de discussions, les décisions contradictoires ou, tout simplement, l’absence de décisions et de volonté politique, sont soulignées. Un responsable des transports collectifs de Lille Métropole affirme que, dans le domaine des transports en commun, les décisions publiques s’annulent, puisque les Agglomérations continuent de favoriser la voiture et d’améliorer son emprise.
Des solutions existent peut-être ...
Au Groland, on applique déjà la politique du développement durable (gnarf ...)